Se détacher des objets peut sembler anodin.Pourtant, pour beaucoup d’entre nous, le tri devient un véritable défi émotionnel. Que ce...
Alléger l’espace. Apaiser le cœur. Transmettre en conscience.
Home organiser et psychologue - À Toulouse et à distance
Bienvenue,
Je suis Céline, home organiser, psychologue et fondatrice du Tri du Cœur.
Ma mission, c’est de vous accompagner lorsque le tri dépasse la simple organisation matérielle, et touche à la transmission de son vivant ou au tri des affaires d’un défunt.
Je crois que ces étapes de vie comptent.
On en parle peu, parce qu’elles sont souvent chargées, sensibles, ou simplement difficiles à aborder.
Et pourtant, elles méritent d’être traversées avec soin, douceur et bienveillance.
Comment je peux vous accompagner ?
Je propose plusieurs accompagnements en fonction de vos besoins.
J’interviens à domicile à Toulouse et alentours, et à distance.
Vous souhaitez anticiper et transmettre
Je vous accompagne, avec une méthode inspirée du Swedish Death Cleaning, pour alléger l’espace et transmettre en conscience.
Vous traversez un deuil
Avec délicatesse, je vous aide à trier les objets et souvenirs d’un proche disparu, à votre rythme, selon vos besoins.
Vous avez besoin de soutien émotionnel
Je vous propose un accompagnement psychologique avant, pendant ou après le tri — que vous soyez aidé·e ou non par un·e home organiser.
Quelques chemins traversés…
Des histoires inspirées de ce que vivent celles et ceux que j’accompagne.
🧡 Isabelle, 64 ans
Transmettre de son vivant
Isabelle voulait trier avant que ses enfants n’aient à le faire.
Elle ne voulait pas leur laisser ce poids-là.
On a commencé par la vaisselle, c’est ce qui lui semblait le plus simple.
Petit à petit, elle a su ce qu’elle voulait garder, donner, transmettre.
Un jour elle m’a confié :
« Ça me rassure de savoir que ce sera plus simple pour eux. »
🕊️ Élise, 43 ans
Après le décès de sa mère
Élise avait gardé les affaires de sa mère dans des cartons qu’elle n’osait pas ouvrir.
Elle avait peur d’être submergée, de faire un mauvais choix, ou d’effacer des souvenirs.
On a avancé à son rythme, en commençant par ce qu’elle se sentait prête à regarder.
Et à la fin de la session, elle m’a dit :
« Je ne pensais pas qu’on pouvait faire ça sans se sentir coupable. »
🫶 Julien, 38 ans
Soutien psychologique
Julien voulait trier les affaires de son père, et il voulait le faire vite.
Mais chaque fois qu’il s’y mettait, il se sentait débordé, dépassé, freiné par l’émotion.
Alors il repoussait.
On a pris le temps de parler, de mettre des mots sur ce qu’il ressentait.
Et un jour, il m’a dit :
« C’est la première fois que je me sens autorisé à ne pas aller trop vite. »
Et vous, où en êtes-vous dans votre chemin de tri ?
Parfois, commencer c’est juste prendre le temps d’en parler.
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